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Les vraies, les faux vampires, les demande par internet de sang! Du danger dans l'air.
 
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 We just got the feeling that we're meeting for the first time

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Steve KarterSteve Karter


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MessageSujet: We just got the feeling that we're meeting for the first time   We just got the feeling that we're meeting for the first time EmptyMer 6 Oct - 21:20

    We just got the feeling that we're meeting for the first time Matt-3-matt-lanter-10656966-100-100We just got the feeling that we're meeting for the first time Xsecondstar-38-emma02
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    A un moment donné, pour que quelque chose fonctionne de nouveau, il faut prendre le risque de tout perdre. Unknow.


comprenais pas l'empathie dont Clara faisait preuve vis à vis de moi. Je n'arrivais pas à comprendre comment elle arrivait à me considérer comme un ami alors que je n'étais rien de plus qu'un monstre. Pourtant, même dans mes moments de faiblesses elle me fixait de cette manière si étrange qui me retournait tout entier. Je ne savais presque plus où me mettre transpercer par la fusillade de ses yeux brûlant. Je m'en voulais tellement. Je me reprochais d'être faible. D'être un monstre, avili par ses besoins, dépendant de ses tentations. Je ne pouvais pas me lever sans avoir peur de faire un malheur. Je ne pouvais pas marcher dans la rue sans sentir cette bête au fond de moi prête à prendre ma place. Il m'arrivait d'avoir l'impression de me trouver à deux dans un seul corps. Comme si je me battais avec un monstre assoiffé qui n'attendait qu'une de mes faiblesses pour s'abreuver plus que de raison et sans pitié de tous ceux qui auraient le malheur de croiser son chemin. J'aurais tellement aimé être quelqu'un de bien le genre de garçon dont la jeune femme en face de moi pourrait tomber amoureuse. Ou plutôt devrait ! De ceux qui en se levant le matin mange un bol de céréale. Se nourrissent d'aliment normaux et n'ont pas l'impression qu'à chaque fois qu'il s'approche d'elle risque de la tuer par "inadvertance". Pour ainsi dire. Je m'en voulais. Sincèrement, j'aurais tout donné pour être de ce genre là. Avoir une vie, des parents, une âme. Mais j'étais là. Immortel, seul, sans plus rien pour me sauver que son regard. Ses yeux au baume divin qui arrivait à me sortir d'entre les morts. Je me sentais mal, tellement rageant vis à vis de moi. Cette haine brûlante qui s'insinuait petit à petit dans mes veines, incendiant chaque pores de ma peau. Comme si je m'embrasais petit à petit. Je lui avais dit qu'elle avait une fragrance délicieuse. En effet le arôme que je percevais de sa personne, de son sang mélangé à son odeur me donnait envie. J'en salivais presque qu'à seulement y penser. La réponse qu'elle me donna fût tout aussi gêné que moi. J'aurais dû me taire, faire comme si de rien était. Mais il était tellement compliqué d'agir ainsi avec elle. J'étais bien trop spontané avec la brune, c'était ça qui allait nous perdre. Je ne savais pas pourquoi j'en avais l'impression.

La faim m'avait reprise petit à petit. Insidieuse, tapie là au fon de moi. J'avais dû secoué ma tête afin de retrouvé mes esprits et lorsque je lui demandais si on pouvait aller dans un endroit moins peuplé. Elle me prit alors la main me proposant qu'on aille chez elle afin qu'elle y dépose ses affaires. Hochant la tête j'attrapais mes propres affaires sans pour autant lâcher sa main, m'y accrochant fermement mais avec douceur. Je ne voulais pas la lâcher. Je ne voulais plus la lâcher du regard. J'étais sans aucun doute surprotecteur avec elle. Je pouvais même m'en rendre compte. Cependant je ne pouvais pas m'en empêcher. Je ne la considérait pas comme ma fragile et précieuse petite humain. Mais comme la personne qui pouvait faire de mon monde un endroit peuplé de couloir toutes plus coloré les unes que les autres. Je ne voulais pas perdre ça. Pas perdre son sourire le matin alors qu'on se rencontrait en cours. Pas perdre le frôlement de nos épaules alors qu'on marchait dans les couloirs. Je ne voulais rien perdre. Aucunes phrases, aucuns son. Rien ! Je voulais tout conserver, à jamais, pour mon éternité. Rendre ainsi mon enfer pareille au paradis. Je voulais y arriver et je savais que sans elle je ne pouvais rien y faire. Marchant tranquillement dans les rues de New York je la laissais me guider à travers les ruelles. Les passages pour piétons, les quartiers. A vrai dire je ne me rendais compte de rien. Je me contentais d'oublier la douce mélodie que son coeur m'offrait, chantait uniquement pour moi et ça me plaisait. Un léger sourire aux lèvres je finis par lui demander un peu gêner d'avoir garder sa main emprisonner dans la mienne sans son accord :

-Tu as déjà réussit à te trouver des repères dans New York ?

Je n'avais pas vraiment de difficulté à me retrouvé dans les lieux. Mis à part la foule constante, il n'y avait rien de particulièrement étonnant ici. Cependant, si elle me servait de guider je pouvais parfaitement jouer la comédie et faire comme si j'étais le moins bon New-yorkais du monde. Celui qui ne sait pas quel café est à fréquenté, quel autre est a mettre en second sur la liste etc. Réfléchissant à tout cela je manquais de me prendre les pieds alors que Clara s'arrêtait pour m'indiquer qu'on était arrivé. Regardant la villa devant laquelle nous nous trouvions, je lui fis un sourire lâchant sa main à regret afin qu'elle puisse ouvrir. La suivant dans le couloirs je regardais les lieux sans vraiment les observer. Comme l'on regarde une photo sans en déceler les détails. Il s'agissait d'images qui ne m'intéressaient pas. C’était chez elle, cependant j’aurais le temps d’apprécier les lieux plus tard. J'avais l'habitude de venir la voir chez elle alors que nous nous trouvions en France. J'aimais à passé mes soirées en sa compagnie. M'allongé sur son lit à regarder le plafond alors qu'elle faisait l'un ou l'autre devoir. Cousait deux trois choses, ou se trouvait couché à côté de moi pour fixer le plafond de la même manière. Les mots n'étaient pas obligatoire entre nous. Il m'arrivait de lui sourire et la regarder sans avoir besoin de rien de plus. Je me nourrissais de ses sourires. Je tirais mon énergie de chacun de ses éclats de rire et j'en profitais. Me délectant de ça. Si seulement les humains avaient pu se nourrir d'amour et d'eau fraîche, je me serais nourrit de sa présence sans jamais rien de plus. Mais il était idiot de croire en de vaines choses utopiques. J'avais passé l'âge. Et plutôt deux fois qu'une. Seulement je ne pouvais m'en empêcher par moment. J'aimais imaginer le monde plus beau. J'aimais espéré en sa présence. Contrairement à ses absences. M'avançant dans son nouveau chez elle je remarquais qu'elle n'avait pas encore eu le temps de tout installé. Dès lors qu'elle me le demanderait je me ferais une joie de venir l'aidé. Partagé du temps avec elle et faire tout ce qu'elle me demandait. J'étais prêt à tout. Mais pas encore à lui dire. Malheureusement.
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MessageSujet: Re: We just got the feeling that we're meeting for the first time   We just got the feeling that we're meeting for the first time EmptyJeu 7 Oct - 17:14

    J'étais heureuse de le revoir ici, mais c'était encore pire quand je su qu'il restait là pour toujours... J'étais pire qu'une pile électrique, la preuve je venais de lui sauter dans les bras, lui faisant part de tous ses sentiments qui me parcouraient. Mais il me repoussa légèrement à mon grand désarrois, j'aurais tellement aimé rester dans ses bras, forts et protecteurs dans lesquels je me plaisais si bien. Pour rien au monde je ne voudrais le lâcher, si seulement il savait ce que je ressentais à son égard tout serait si simple... Enfin il y aurait toujours ce souci de vampire ainsi que le fait que je suis une tentation mais... Enfin mes idées n'étaient que chimères et éphémères, jamais il ne s'attacherait à une humaine banale comme moi. Je pense que je n’étais sûrement qu’une simple échappatoire à son éternité… Enfin je veux dire que je devais lui apporter une bouffée d'air frai, un moment dans répit dans ce combat constant pour ne pas sauter sur tout ce qui bougeait. J'avais conscience que ma présence auprès de lui était une torture mais je ne pouvais me résigner à le laisser partir... Oui je sais, je suis égoïste mais ne faut-il pas l'être par moment ? Devons-nous toujours s'occuper des autres sans faire attention à ses propres envies ? Bref, j'étais donc là éloigné du seul être autour duquel je tournais tel la lune autour du soleil, il était mon soleil, mon étoile qui illuminait mes nuits. Je m'approchais de lui posant une main qui se voulait réconfortante sur son épaule, je n'avais pas peur de lui... Il pouvait se montrer sous son véritable visage avec moi, je n'irais pas le juger.

    Il se tourna alors vers moi s'excusant en disant qu'il n'aurait pas du attendre que la soif lui prenne... Il me fit perdre totalement mes moyens quand il m'annonça que mon odeur était des plus alléchantes. Des tonnes de questions prirent possession de mon pauvre cerveau, je me demandais ce que cela signifiait, si ces paroles avaient un sens cachés... Enfin, il souhaitait que nous quittions cet endroit bondé, ce que je comprenais parfaitement, je lui proposais chez moi... Aller tout de suite les idées mal placées, non je voulais juste y poser ce que j'avais acheté. De plus, je pourrais lui poser toutes mes questions sans réponses. Je lui pris la main sans aucune gène, je mêlais même nos doigts entre eux, mais il se semblait pas non plus s'en plaindre, alors pourquoi j'allais arrêter. Je passais par mille et un chemins que j'avais appris à reconnaitre pour ne pas me perdre dans cette grande ville.

    " Et bien pour ne pas perdre un temps fou dans les rues principales, il faut prendre les ruelles et j'ai une assez bonne mémoire, ainsi que bonne orientation alors je n'ai pas de mal " répondis-je avec le sourire.

    Nous arrivâmes enfin devant chez moi, mon cher "compagnon" me lâchais la main pour que je puisse ouvrir la porte d'entrée. Je l'invitais à rentrer par la suite, bon bien sûr c'est à ce moment là que oh malheur je me souvins que c'était le bordel pas possible dans ma demeure... Pour cause je n'avais pas encore fini de déballer tous les cartons qui étaient donc de ce fait entreposer un peu partout dans le passage. Je me tournais alors vers lui, et comme par automatisme et chose très naturelle, je pris de nouveau sa main pour le guider dans le salon.

    " Fais comme chez toi, excuse moi pour tout ce désordre... pourtant je suis quelqu'un d'assez maniaque *rit* Tu veux quelque chose à boire ? " demandais-je.

    J'étais toujours devant lui, debout attendant une réponse de sa part sur ce qu'il souhaitait boire. Je m'étais calmée, mon cœur avait repris un battement normal, ainsi que ma respiration qui était moins saccadée.

    Spoiler:
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Steve KarterSteve Karter


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MessageSujet: Re: We just got the feeling that we're meeting for the first time   We just got the feeling that we're meeting for the first time EmptyJeu 7 Oct - 19:57

    We just got the feeling that we're meeting for the first time Matt-3-matt-lanter-10656966-100-100We just got the feeling that we're meeting for the first time Xsecondstar-38-emma02
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    La vraie difficulté est de savoir ce qu'on veut prouver. Emile-Auguste Chartier.

Nous étions chez Clara, elle m'avait tiré par la main pour m'amener jusqu'au salon me prévenant qu'il y avait beaucoup de désordre. Regardant autour de moi je pouvais remarqué des cartons mi ci et là. Je comprenais qu'elle ai pu se laisser par dépasser par les choses qu'elle devait rangé. A sa place j'aurais sûrement été dans le cas. Seulement j'avais plus de temps que ce qu'il ne m'en fallait pour ranger mon appartement. Puis j'avais pour habitude de me refaire ma garde robe là où je vivais. Il était déjà plus simple de s'intégrer lorsqu'on avait des habits qui correspondait au lieu où on vivait. Puis ça me permettait de ne pas devoir tous les transporté. Enfin, je la regardais en souriant me fichant bien de l'état de l'endroit. Seulement, lorsqu'elle me demanda ce que je voulais boire je me crispais légèrement. J'avais soif, très soif, seulement je ne m'imaginais pas m'abreuver à sa gorge pour étancher cette soif si prenante que je ressentais. Me retrouver à ses côtés était une vrai torture. Je souffrais de sentir son odeur si délicieuse et si tentante à pareille proximité. Je ne pouvais pas craquer, je ne l'avais encore jamais fait jusqu'à présent. J'avais toujours réussit à me contrôler, j'étais toujours partit me nourrir avant de ne commettre l'impardonnable. Et je ne voulais pas faillir, je ne pouvais pas faillir. J'étais déjà tellement imparfait que je ne pouvais pas laisser cette chose entacher ma personne en plus. Reprenant peu à peu de l'assurance, je lui adressais un léger sourire avant de dire :

-Un verre de cognac si tu as, ou n'importe quoi dans le genre.

Je savourais le contact de nos mains. La légère poigne que la belle exerçait sur la mienne alors que je me servais de ce simple contact pour ne pas perdre pied. Mes yeux dans les siens je ne savais pas ce qui était le plus dur à supporter. Ma soif, ou cette envie terrible de l'embrasser. Je n'arrivais pas à contrôler le flux de mes pensées. Je ne les maîtrisais en rien et je devais avouer que c'était assez frustrant, bien qu'imaginer nos bouches s'effleuré me faisait monté à des sommets jamais atteint. Mais tout cela n'était que purement platonique. Elle ne m'appartenait pas, je ne lui appartenait pas. Mis a part nos mains serré l'une par l'autre, rien ne nous liait sur l'instant. Pourtant j'aurais aimé tellement plus. Bon dieu qu'est-ce que j'aurais voulu pouvoir avoir plus. Mais je m'auto réprimandais. Quémander de mon regard suppliant et de mes yeux qui en disant tant, je ne pouvais avoir de réponse positive. Elle ne devait même pas comprendre ce que je lui suppliais dans un silence qui aurait pu être gênant si je croyais qu'elle puisse comprendre. Mais c'était un dialogue de sourd. Je lui demandais en silence ce qu'elle ne pouvait comprendre. Lâchant sa main je la vis passé derrière le comptoir pour aller chercher dans la superbe cuisine à boire et un verre. Ne bougeant pas je la regardais faire un mince sourire aux lèvres. Un tient vaut plus que deux tu l'auras. Je devais me contenter de peu même si je pouvais croire que je pouvais avoir plus. Car il valait mieux que je me contente de ce que j'avais que de risqué de tout perdre. C'était une manière de pensé de faible. Je devais me battre, lui dire. J'aurais aimé hurlé, le crier. Lui dire que je l'aimais, mais alors que je m'ordonnais de le fort, aucun son ne sortait de ma gorge. Rien du tout, c'était le silence qui répondait à ma plainte sans nom. J'étais pathétique là a regardé la jeune femme de dos en train d'attraper un verre. Je ne savais pas pourquoi je le sentais mal. C'est alors que le verre lui échappa des mains. Le regardant tombé vers le comptoir je le vis se casser, se décomposant en plusieurs éclats.

Lui disant de ne pas s'en occuper j'allais venir l'aider afin qu'elle ne se blesse pas et ne nous mette pas tout deux en périls. Seulement elle ne m'écouta pas. Me retrouvant dans une pièce saturé par l'odeur de son sang mes yeux se noircirent alors que je sentais mes crocs s'allongé. Je devais avouer que ce n'était pas une sensation qui me plaisait. J'étais tellement impuissant face à cette bête qui se trouvait au fond de moi. Et son sang si tentant. La fixant sans me cacher de cette part de moi qui me répugnait tant, je m'avançais vers elle. J'allais faire une connerie je le sentais mais j'étais inlassablement attiré par cette goûte qui se trouvait sur son doigt. Je semblais pourtant très calme, ça devait être cela le plus effrayant. A l'intérieure de moi je bouillonnais, mais à l'extérieure je ne laissais rien voir de cette tempête silencieuse qui me prenait et me ballottait. Alors que j'arrivais à la hauteur de Clara, je posais mes mains de part en part de son corps l'empêchant de bouger d'une quelconque manière. J'étais proche, bien trop proche qu'elle. C'était la première fois que ça nous arrivais. J'avais réussit à tenir mes instincts loin, bien loin d'elle, enfermé dans une boite. Tel la boite de Pandore que je ne voulais ouvrir sous aucun prix sous peine de laisser le mal s'abattre sur la terre. Seulement j'étais là. Collé à elle, mes yeux dans les siens, savourant son haleine ambré et sucré. Même à distance je savourais l'odeur de son sang comme si je pouvais le goûté. Je l'imaginais et ça me troublait encore plus. Approchant mon visage du sien, mes lèvres frôlèrent sa joue alors que je me penchais vers son cou. Atteignant presque mon but j'émis une protestation quand à ce désire pernicieux en lui disant dans un souffle tel un ordre :

-Blesse moi...

C'était la seule chose qui aurait le mérite de me rendre mes esprits. Cependant, je sortais déjà les crocs afin de savoureux ce nectar si précieux qu'était le sang de mon aimé.
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MessageSujet: Re: We just got the feeling that we're meeting for the first time   We just got the feeling that we're meeting for the first time EmptyLun 11 Oct - 13:18

    Nous étions enfin chez moi, je l'avais attiré loin de toute cette foule pour qu'il ne regrette pas le geste qu'il pourrait faire, je savais qu'il détestait cette part de lui... J'essayais donc de l'aider autant que faire ce peut. Je lui demandais alors de me suivre jusqu'au salon, enfin en fait je ne lui laissais pas trop l'opportunité de répondre prenant directement sa main pour l'y mener. Je lui fis comprendre de savoir sur le canapé, en clair de faire comme chez lui... Après tout il était venu si souvent chez moi en France que c'est comme si nous avions vécut ensemble. Je me rappelle encore toute ses fois ou il était sur mon lit me regardant faire mes leçons, je n'ai jamais d'ailleurs saisi l'intérêt d'agir de la sorte. Car me voir étudier n'était pas un réel plaisir, moi même je n'en éprouvais aucun quand j'étais plongé le nez dans mes bouquins... Vous voyez Hermione Granger dans Harry Potter, et bien voilà ce que cela donnait quand j'avais des choses à apprendre ou au contraire à faire pour les études. Je me demandais d'ailleurs comment il arrivait bien dans ces moments là, à me supporter... beaucoup disait que j'étais intello ou alors beaucoup trop sérieuse... C'est vrai je n'étais pas le genre de nana qui sortait tous les soirs et faisait la fête. J'aimais bien mieux être tranquille chez moi, faire des créations ou alors mater un bon film seule ou accompagnée. Enfin bref nous étions dans le salon, lui assit dans le fauteuil. Je lui demandais alors ce qu'il souhaitait boire, bien sûr en disant cela je n'avais point pensé à son coté vampire et encore moi à la soif qui le tiraillait.

    " Je ne dois pas avoir de cognac mais de la téquila " dis-je souriant.

    Eh bien quoi ? Oui il m'arrivait de boire un peu enfin surtout quand des gens venaient chez moi, ce qui ne risquait pas d'être courant vu que je venais d'emménager il y a à peine une semaine. Je ne suis pas coincé comme certain le dise, juste raisonnable, pour moi je ne vois aucuns intérêts à se saouler la gueule pour s'amuser. Je lâchais donc sa main à regret allant dans la cuisine pour lui servir son verre d'alcool. Je farfouillais donc dans mes placards pour prendre un verre, mais celui-ci m'échappa des mains et finit sa course en se fracassant contre mon bar.

    " Et zut je ne devrais pas mettre mes verres aussi haut finalement " pesais-je contre moi même.

    J'entendis alors Steve me dire de ne pas ramasser les bouts de verre, mais je ne pouvais pas laisser ça comme ça par terre, oui je sais mon sens de la propreté va finir par me perdre... Et peut-être plus tôt que prévu ! Pour cause je venais de me couper le doigt, et merde je m'apprêtais à passer mon doigt sous l'eau quand Steve arriva à ma hauteur. Il me tenait fermement m'empêchant de bouger, je puis alors voir ses yeux noir sans fond, ou aurait dit le néant, là ou vous tomber sans cesse dans le vide sans toucher le sol une seule fois. Vu comment il me maintenait, je ne pouvais tout bonnement pas bouger d'un poil, je savais ce qu'il était, je savais qui il était... Il ne me ferait aucun mal, je lui fais confiance... Oui je suis sûrement suicidaire. Il approcha son visage du mien, frôlant ma joue de ses lèvres, j'en frissonnais, ce n'était pas de la peur croyez-moi... Juste que c'était la première fois que nous étions si proche tous les deux, même si je préférerais que se soit dans d'autres circonstances et lui aussi je présume. Ces lèvres dérivèrent sur mon cou, je sentais son souffle chaud contre ma peau. Il me demanda, non m'ordonna alors quelque chose que je ne pourrais pas faire, il le savait...

    " Je ne peux pas faire ça Steve " dis-je au bord des larmes.

    Blesser celui que j'aimais c'était tout bonnement inconcevable, mais je sentis alors ses crocs touchés ma gorge... Je crois que je ne pouvais pas risquer quelque chose, j'ignorais s'il serait tenir ou même s'arrêter au cas ou il me mordrait. Je réussis alors à prendre un bout de verre non loin de moi, je tremblait un peu mais cette fois c'était plus de nervosité. Je ne voulais pas le blesser mais si je ne le faisais pas ou cela nous mènera-t-il ? Je le poussais alors de toute mes forces, puis je plantais le bout de verre dans son bras, reculant au maximum de lui, les larmes coulant à flot.

    " Excuse-moi ! Pardon ! " répétais-je maintes et maintes fois.
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MessageSujet: Re: We just got the feeling that we're meeting for the first time   We just got the feeling that we're meeting for the first time EmptyLun 11 Oct - 15:23

    We just got the feeling that we're meeting for the first time Matt-3-matt-lanter-10656966-100-100We just got the feeling that we're meeting for the first time Xsecondstar-38-emma02
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    J’aurais aimé t’aimer comme on aime le soleil, te dire que le monde est beau que c’est beau d’aimer. J’aurais aimer t’écrire le plus beau des poèmes. Et construire un empire juste pour ton sourire. Devenir le soleil pour sécher tes sanglots. Et faire battre le ciel pour un futur plus beau. Mais c’est plus fort que moi tu vois je n’y peux rien ce monde n’est pas pour moi. Ce monde n’est pas le mien. Saez.

J'aurais aimé être quelqu'un d'autre sur le coup. Quelqu'un qui peut voir une autre personne saigné sans avoir envie de l'égorger afin de pouvoir se repaître de son sang pour faire un festin de roi. Seulement je ne pouvais changé qui j'étais. Je ne pouvais changer ce choix qu'Andrew avait fait pour moi alors que je me trouvais encore en Angleterre. Il m'avait tout offert à l'époque. Un endroit où vivre, de quoi me nourrir et du temps à ne plus pouvoir afin d'exercer ma passion. Seulement je n'avais pas voulu de ça. Je n'avais pas prévu qu'il me fasse devenir un vampire. Un être immortel, faible dans sa force. Perdre le contrôle de sa personne c'est comme se jeté dans le vide. On aimerait faire marche arrière une fois le pas sauté, seulement il est trop tard. On sent le vide nous aspirer mais on ne sait pas comment arrêté la chose. Alors on tombe, inlassablement attiré par les abysses. Toujours et encore plus bas. Les battements erratique de son coeur sifflaient à mes oreilles tel des signal d'alarmes. Je dépassais les limites, enfreignait toutes les règles. Je ne pouvais pas être plus bas qu'à cet instant alors que je lui demandais, avec une honte non dissimulé mais une force encore bien présente, de me blessé. Voila qu'une fois mes dernières tentatives de résisté totalement balayer par ce désir grandissant en moi, je me retrouvais pauvre jouet de mes désirs. Je l'entendis me dire au bord des larmes, comme si elle se trouvait à des kilomètres de moi, qu'elle ne pouvait pas faire cela. Le peu d'humanité qui restait en moi, ce battait tant bien que mal à la recherche de cette force vacillante qui m'aurait permis de la poussé à le faire. Seulement j'étais trop faible, bien trop faible, je restais silencieux en train de profiter de cette fraction de seconde si particulière qui précède la morsure. Lorsqu'à l'intérieure de soit on se sent sur le poids d'avoir un festin de roi. Cette douce appréhension qu'on loue et qu'on déguste.

Seulement elle bouscula les plans que j'avais, même si j'étais loin de le désiré consciemment. Sa faible tentative de me pousser me fit pousser un long grognement alors que je relevais de quelques centimètre mon visage prêt à me jeté à nouveau vers son cou. C'est à cet instant que je sentis le morceau de verre déchiré mon haut avant de percer ma peau. C'était la décharge qui me fallait. Cette légère douleur et cette sensation de picotement qui me faisait reprendre mes esprits. Légèrement hébété je reculais de quelques pas sans comprendre la raison de tout ce chamboulement au fond de moi avant de reposer mes yeux sur Clara. Je la voyais en pleure en train de s'excuser et de me demander pardon. Ça me brisait le coeur de la voir ainsi. Ce n'était pas de sa faute, ce morceau de verre dans mon bras ne me tuerait pas. Je le retirais à mes nues, laissant la plaie se refermer avec lenteur du au manque de sang dans mon organisme. Ça picotait un peu, mais ça ne faisait pas bien mal, En toute logique c'était à moi de m'excuser. C'était moi la bête démoniaque dans la pièce. Moi qui avait failli m'abreuver de son sang et même dans le pire cas, failli la tuer quelques instants plus tôt. Faisant encore un autre pas en arrière je n'osais m'approcher de peur qu'elle ne me repousse. Ce que j'aurais compris et accepté bien que ça m'aurait terriblement fait mal. Évitant ses yeux baigné de larmes, je pris une longue inspiration avant de me mettre à parlé d'une voix clair et d'où perçait plus de regret que ce que je ne pouvais en supporter :

-Tu n'as pas à t'excuser. C'est uniquement de ma faute, la mienne, pas la tienne.

Je savais bien que notre relation était dangereuse. Je m'étais toujours intimement douté qu'un jour arriverais om je céderais face à la bête insatiable qui se trouvait enfoui en moi. Lorsque je n'étais qu'un humain, j'étais loin d'être un surhomme, les choses n'ont pas changé depuis que je suis un vampire. Je n'étais pas parfait. Il m'était terriblement dur de lutter contre cette bête sanguinaire qui à chaque coin de rue s'attaquait à moi. J'étais le pantin de mes désirs. Et bien que je lutte depuis des années, les choses n'ont jamais réellement changé. Par instant il me semble que je me maîtrise, que je gagne du terrain face à ce monstre que je suis. Puis à d'autre je me vois revenir en arrière. Tombé plus bas, ne pas mieux valoir que tout ces vampires sanguinaires qui s'amusent avec les humains. Serrant les dents, je sentais ma mâchoire se crisper alors que j'avais du mal à laissé ces mots fatidiques sortir de ma bouche. J'étais un danger pour elle. Je l'avais toujours été. C'était pour cette raison que j'avais tout d'abord refuser de l'approcher. Pour cela que j'avais disparu en un coup de vent et que j'avais fait de mon vieux pour lutter contre cette obsession grandissante. Et voila que je me retrouvais à faire face à mes pires craintes. Le visage tourné vers une fenêtre je regardais l'extérieure chercheur à évité de la regarder, c'était déjà bien assez dur ainsi. Il fallait que je laisse ces mots sortir afin de me sentir plus léger. De ne pas me sentir oppresser par la honte et le regret. Le silence m'était pesant et le briser me semblait encore plus dur. Pourtant je le fis :

-Je savais bien que ça allait arriver un jour. On a cru pouvoir faire comme si ça n'allait jamais arrivé... mais je suis un monstre Clara. Et quoique je fasse je le resterais. Chaque instants que je passe avec toi est un danger en plus que je te fais subir. Je n'aurais jamais dû tenter de rentré en contact, j'aurais jamais dû me laisser avoir. J'aurais jamais dû t'aimer plus que raison. A l'heure qu'il est tu aurais une vie normal, bien loin de tout ces dangers auxquelles je t'expose. Bien loin de moi et de ce monde fou que je représente.

Serrant à nouveau les dents j'aurais aimé disparaître. J'aurais dû disparaître. Je me serais bien jeté d'un pont pour voir si s'écraser au sol faisait aussi mal que d'avoir le coeur briser de sa propre faute. Je m'en voulais, j'aurais bien tout cassé. J'aurais bien fait un malheur. Je me serais même fait sentir tellement mal que j'en aurais fait mille et une conneries, mais au lieu de ça j'étais immobile. Les poings serré. A espéré qu'elle ne dise rien jusqu'à ce que je m'en aille. Que je trouve la force de disparaître pour de bon.
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Clara DawsonClara Dawson
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MessageSujet: Re: We just got the feeling that we're meeting for the first time   We just got the feeling that we're meeting for the first time EmptyLun 11 Oct - 18:32

    Nous étions là chez moi, tout allait très bien, jusqu'à ce que je fasse une erreur qui allait surement être fatidique pour moi. Mais avant tout refaisons un léger flash back pour se rappelait ce qui ce passait en ce moment même... Enfin du moins pourquoi nous en étions rendus là ! Steve m'avait demandé si nous ne pouvions pas être dans un endroit plus calme pour qu'il ne fasse pas un massacre à cause de sa soif... Je savais qu'il détestait cette part de lui et je l'invitais donc à la maison pour l'aider, mais à cause de ma maladresse se n fut pas le cas, je m'en voulais si seulement j'étais plus attentive ou adroite dans mes gestes tout cela ne se serait pas passé ! Bref, il me demanda que je lui serve un verre d'alcool, je n'avais pas l'habitude de le voir boire mais bon, j'allais donc dans ma cuisine pour prendre un verre qui était dans un placard en hauteur... Et PAF ! Il alla se fracasser contre mon bar. Maniaque comme je suis, je me mis alors à ramasser les bouts de verre éparpillés un peu partout malgré la recommandation de mon invité qui me disait de laisser, qu'il le ferait. Et voilà maligne comme je suis, je réussis à me couper... Alors tout alla trop vite, il se rapprocha de moi à vitesse vampirique m'empoignant m'empêchant de ce fait de pouvoir bouger... Ne serait-ce que d'un millième de centimètre. je vis alors ces yeux noirs dans fond, il était effrayant là ça c'est sûr. Mais je préférais encore mourir pour mon aimé que pour quelqu'un d'autre, seulement il ignorait que je donnerais ma vie pour lui.

    Ses crocs étaient très prêt de ma jugulaire, je voyais nettement qu'il essayait de lutter, sinon cela ferait longtemps qu'il aurait planté ses canines dans mon cou tendre. Il me demanda ou plutôt m'ordonna l pire des choses, il voulait que je le blesse pour qu'il puisse reprendre ses esprits. Je pensais ne pas pouvoir y arriver malgré tout je le poussais de toute mes forces, ce qui est dur face à quelqu'un qui est beaucoup plus puissant que vous. Il émit un grognement de mécontentement s'apprêtant à se rejeter sur mon cou, mais sans réfléchir je plantais le bout de verre dans son bras. Il recula lors hébété, il semblait ne pas comprendre ce qui venait de se passer, mais je pense que quand les vampires "chassent" ou ont trop soif, ils sont dans un état second. Cela peut encore plus aisément se passer quand les vampires en question sont végétariens, qu'ils ont très soif et que quelqu'un de très intelligent à la merveilleuse idée de se couper. Je m'excusais alors si j'avais été plus adroite ça ne se serait pas passé, notre journée ne serait pas gâchée.

    J'étais totalement perdue dans mes pensées, quand il prononça ses mots qui étaient comme des rasoirs pour moi, chaque parole dites était pure torture... J'avais l'impression qu'on prenait un malin plaisir à taillader mon cœur. Je restais là immobile comme anesthésié... Je luttais contre les larmes qui souhaitaient plus que tout débordées et couler à flots sur mes joues. Je le regardais espérant que tout cela ne soit que cauchemars qu'il s'approche de moi... Je détestais se fossé qui se creusait entre nous à ce moment même, je n'avais même pas fait attention qu'il m'avait déclaré sa flamme, j'étais top abasourdie par ce qu'il venait de me balancé à la figure. Je voulais m'approcher de lui mais mes muscles refusaient de répondre, j'étais comme cloué avec de la super glue.

    " Reste ... "

    Voilà le seul mot que je réussis à articuler convenablement, je le regardais alors avec ces yeux tristes comme la mort, je souhaitais qu'il y voit tout l'amour que j'avais pour lui, il était mon soleil, s'il partit loin de moi qui éclairera mes journées, je serais triste, morne et sans vie sans lui... D'accord c'est peut être exagéré mais je l'aimais plus qu'il ne le fallait. je savais qu'il avait raison que nous deux c'était dangereux et tout... cependant je n'arrivais pas à me résigner à le lâcher...

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MessageSujet: Re: We just got the feeling that we're meeting for the first time   We just got the feeling that we're meeting for the first time EmptyMar 12 Oct - 19:07

    We just got the feeling that we're meeting for the first time Matt-3-matt-lanter-10656966-100-100We just got the feeling that we're meeting for the first time Xsecondstar-38-emma02
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    All these times are hard. And they're making us crazy. Don't give up on me Baby The Script.

La dureté de mes propos m'était horrifiante. Je ne voulais pas prononcer cela. Je ne voulais pas de ces faux adieux et toutes ces choses qui allaient avec. Ma gorge était serré et j'avais l'impression d'être prit tel un oiseau en cage. Incapable de s'en voler, incapable de récupéré cette liberté tant désiré. J'étais là. D'un côté de la cuisine, contemplant le fossé que j'avais creusé avec mes mots. Pouvions nous faire quoi que ce soit pour inverser la tendance ? Je ne le pensais pas. J'avais l'impression de dévaler une pente sans savoir où se trouvaient les freins. Je n'avais pas peur de m'écraser. Ça faisait longtemps que je n'avais plus peur de souffrir. La douleur était mon paix quotidien et un peu plus ou un peu moins ne signifiait rien pour moi. Je n'avais plus de notion de temps, j'aurais pu resté là, immobile, tel une statue de marbre à fixer le sol pendant des heures, sans m'en rendre compte. J'étais prisonnier de mes travers. Prisonnier de mon état sans pouvoir rien faire pour lutter contre. Je ressentais une frustration tel que je n'arrivais pas à mettre de mot dessus. Je voulais m'énervé. M'énervé contre tout. Contre elle, contre le monde. Contre moi ! Surtout contre moi. Je n'en pouvais plus. J'avais l'impression d'être à bout, rompu par toutes ces années passée à lutté contre ce que j'étais sans avoir jamais vu aucune bonne facette de ma personne. Quoique je dise, quoique je fasse, je ne pourrais jamais changé ma nature. Et c'était ça sans aucun doute qui me tuait à petit feu. Très lentement, avec une douceur alarmante et terriblement douloureuse.

L'entendant me supplier, dans un murmure, de resté. Je relevais les yeux sans le vouloir. Je ne voulais pas croiser ses yeux. Pas me laissé emporté par le raz de marée de sensations qu'un simple regard d'elle m'emporterait. Je devais être fort. Fort pour nous deux, pour toutes ces conneries que j'avais faites. Pour toutes ces choses que je ne voulais pas voir arrivé. Seulement il est dur de ne pas céder face à un tel regard. Je sentais en moi monté une colère des plus terribles et des plus profondes. J'étais a bout, je ne pouvais plus me permettre d'être fort. Il fallait que je parte, cherche de l'air, trouve un endroit ou me cloîtré et apprendre à oublié. Je le devais pour moi. Pour elle. Faisant un pas sur le côté, je m'éloignais d'elle alors que je me rapprochais de la sortie de la cuisine. Je savais ce que je faisais. Mais mes pieds étaient lourd. J'avais l'impression de marché au ralenti alors qu'un seule pas me faisait me posé tant de question. Je fixais le mur face à moi sans cherché à croisé à nouveau ses yeux. J'étais faible, sans voix, à court de mot. Pourtant on me demandait tant de chose. On m'avait demandé tant de chose. Je n'étais pas parfait. Loin de là. Alors, je faisais comme je pouvais. Abattait mes cartes au mauvais moment et perdais la partie. Cependant c'était ma vie, et je ne pouvais lutté contre ça. Cette tare que vous offre la naissance. Ce bagage que vos parents vous offrent un sourire conciliant aux lèvres. Je n'avais pas eu de parents. Pas de famille a part des gosses de la rue. Personne à pleuré alors que mon premier siècle défilait devant mes yeux. Il n'empêchait que j'étais encore plus imparfait que les autres. Comme si on n'avait compensé ma longévité avec ce que je devenais petit à petit. De pire en pire, toujours plus bas, toujours plus profond, toujours pire. Je me trouvais sur le point de passer le pas de la porte lorsque je m'arrêtais sans pour autant me retourné. Je ne pouvais affronté son regard. Ses yeux qui semblaient me chanté une douce mélodie d'amour. Alors que devait sans aucun doute y régné une simple peur basic, normal. D'une voix toujours aussi forte que précédemment je dis ma main contre le mur :

-Ça servirait à quoi ? Raccourcir ta vie ...? Je ne compte pas continuer à resté égocentrique en passant outre tout le bon sens que n'importe qui doit avoir.

J'avais l'impression d'avoir le rôle du méchant, que j'étais, de devoir couper brutalement les ponts afin de ne laisser aucune fioriture. Rien qui pourrait dépasser et continuer à faire souffrir. Plus sèchement je brisais le lien qui nous unissait, plus facilement elle pourrait m'oublier et reprendre sa vie d'adolescente. Elle ne savait pas où je vivais. Je n'aurais cas me trouvé un petit job, puis pourquoi pas me lancé dans une troupe de danseur d'ici. Je pourrais me relancé sur les routes et vivre de ma passion comme je l'eu fait il y avait très longtemps. J'étais vieux, blasé et je savais déjà tout sur tout. Recommencer à vivre au jour le jour ne me ferait certainement aucun mal. Mais je devins d'abords couper ce cordon qui nous unissait. Ce lien si particulier que les japonais croyaient tissé entre deux personnes. Je ne pouvais pas faire autrement et dieu seul sait comme ça fait mal. Je sais bien qu'il n'a jamais été là pour moi. Qu'il s'en ai toujours foutu de mon sors et qu'il n'existe sûrement pas à cause de tout ce qui m'est déjà arrivé. Mais c'est bon de croire en quelque chose. Se dire que tout le monde a le traitement qu'il mérite. Même si parfois il me semble que ma vie est injuste, que je n'ai rien fait pour me retrouvé là où j'en suis et que j'aurais aimé prendre un autre train pour me retrouver ailleurs. Seulement il est dur de sauté d'un train en marche sans se faire mal. Attendre la prochain gare sans savoir où on va atterrir n'est pas une solution non plus. Alors on fait juste comme on peut. On espère ne pas trop se ramasser et que l'atterrissage ne soit pas trop violent. Cependant. Comme je m'apprêtais à sortir du train en marche vers je ne savais pas trop où, je savais déjà que je n'avais pas d'espoir de bien atterrir. Ça aurait été bien trop beau.


Dernière édition par Steve Karter le Ven 15 Oct - 20:27, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: We just got the feeling that we're meeting for the first time   We just got the feeling that we're meeting for the first time EmptyJeu 14 Oct - 16:50

    Et voilà ou nous en étions arrivés à cause de ma stupide maladresse, si seulement j'avais écouté ce qu'il m'avait dit... Si je n'avais pas touché ses bouts de verre, je ne me serais pas coupée et on n’en serait pas là... Lui loin de moi ainsi qu'un fossé aussi imposant que le grand canyon ! Je sentais mon cœur se déchirer en deux parts égale, la douleur était si intense que j'en avais le souffle coupé, je ne voulais pas le perdre... Non je refusais qu'il s'éloigne de moi pour mon soit disant bien... S'il me "quittait" je ne survivrais pas, bien sûr il ne savait pas ce que je ressentais à son égard, mais sans lui mes journées n'auraient plus aucune gaieté, je déprimerais sûrement, non c'est même sûr... J'avais besoin de vie, c'est inévitable, il est comme mon oxygène sans lui je suffoque dans un monde qui deviendra aussi noir que et vide que le néant. Je le veux lui et personne d'autre, comment lui faire comprendre sans faire du rentre dedans... Je le voyais loin de moi, il s'apprêtait même à quitter la cuisine même si je lui avais demandé de ne pas me quitter, de rester, je le regardais alors avec intensité... J'aimerais qu'il comprenne la détresse qui était visible dans mes prunelles marron...

    " Je t'en pris ... "

    Je pleurais à moitié, il devait sûrement prendre ça pour de la peur par rapport à ce qu'il avait faillit me faire, alors qu'en fait j'avais simplement peur... Peur qu'il se retourne, s'en aille et ne revienne jamais vers moi ! Je venais tout juste de le récupérer si je puis dire, je ne supporterais pas de le perdre une seconde fois... Il n'osait même pas me regarder étant dos à moi, je sentais alors un peu de colère monter en moi, je ne pus m'empêcher de crier haut et fort ce que je pensais tout bas.

    " Je te pensais pas aussi lâche, regarde moi ! Je me fiche de mourir, je me fiche de ce que tu penses... Mais bon sang je suis assez grande pour prendre moi même mes décisions... Arrêtez tous de vouloir régir ma vie ! "

    Mes poings étaient serrés, la rage commençait peu à peu à prendre possession de mon corps, prenant le dessus sur la tristesse immense qui avait germé en moi. C'est alors qu'une idée saugrenue me vint à l'esprit... Lui foutre une baffe pour lui remettre les pendules à l'heure comme on dit, mais il aurait vite fait de m'arrêter avant que ma main n'est frôlée sa joue. Je le vis faire encore un pas vers la sortie, mais bon sang m'écoutait-il au moins un tant soit peu...

    " Steve ! Je... "

    Les mots me restaient bloqués en travers de la gorge, je maudissais ma timidité en ce moment précis, car elle me ferait perdre la seule personne qui comptait véritablement pour moi. Je me sentais mal je n'allais pas tarder à abandonner je le sentais, mes forces me quittaient peu à peu... Non tu dois te battre ma fille, allé ! Pensais-je pour moi-même !

    " Ne m'abandonne pas... Je t'.... T'aime ! "

    Et voilà j'avais enfin réussir à sortir ses petits mots, j'attendais avec impatience sa réponse ou sa réaction. J'espérais sincèrement qu'il resterait près de moi même s'il ne m'aimait pas, le plus important était qu'il ne me laisse pas seule... Oui je sais je suis égoïste !

    Spoiler:

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MessageSujet: Re: We just got the feeling that we're meeting for the first time   We just got the feeling that we're meeting for the first time EmptyVen 15 Oct - 20:29

    We just got the feeling that we're meeting for the first time Matt-3-matt-lanter-10656966-100-100We just got the feeling that we're meeting for the first time Xsecondstar-38-emma02
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    What would you think of me now ? So lucky, so strong, so proud ? Jimmy eat the world.

Je n'aimais vraiment pas la position dans laquelle je me trouvais. J'avais l'impression d'être le bourreau, le juge et le condamné à perpétuité. Jamais je n'avais été tant atteint par quelque chose dans le genre et ça me troublait. Je ne voulais faire de mal à Clara. Que ce soit par mon départ ou par ma présence. Je me rendais compte désormais de l'imbécillité dont j'avais fait preuve. J'étais stupide, futile, puéril et terriblement con ! C'est alors que je l'entendis pleuré. Ses larmes s'échouant tout en douceur sur le sol. Et je ne pouvais rien faire. Je serrais les poings dans une vaine tentative de me faire mal, mais rien ne me venait. Pas de douleur autre qu'un léger picotement qui ne m'aidait nullement à extériorisé ce que je ressentais. J'étais mal. J'étais impuissant face à elle et plus que tout je m'en voulais énormément. Avait-elle peur ? Peur de qui, de quoi ? De moi ? Ou pleurait elle à cause de mon futur départ ? Je n'en savais rien. Je ne pouvais pas savoir et ça me frustrait encore plus que mon incapacité à la sortir de ce mauvais pas. Je voulais l'aider, j'aurais aimé pouvoir l'aimer. Cependant le monde était contre nous. Comme il avait été contre Tristan et Iseult. Aucun espoir de fin heureuse, aucun espoir tout court. Et je continuais à désespéré de plus en plus. Pensant à cela je l'entendis ce mettre à crier. Elle me traitait de lâche, disait se ficher de mourir et en avoir marre qu'on désire régir sa vie à sa place. Restant encore de dos quelques instants je finis par me retourné tout aussi énervé qu'elle. Oui j'étais lache. Oui je n'étais qu'un con. Oui je faisais tout de travers. Bordel ! A toutes ces accusation je ne pouvais répondre que oui et sincèrement ça me faisait tout aussi mal de devoir répondre ça que de me mentir à longueur de temps. J'avais peur de vivre. Peur de trouvé quelqu'un qui arriverait à me faire sortir de ma douce douleur. De cette douce solitude que j'avais toujours connu et que je ne voulais quitté pour rien au monde. Du moins que je donnais l'impression qu'elle ne voulait pas me lâcher. Montant légèrement le ton à mon tour je me laissais emporté :

-Tu t'entends parlé ? C'est normal qu'on veuille régir ta vie tu serais prête à mourir pour un monstre !

Ça me consternai. Comment pouvait on faire preuve de si peu de bon sens ? Comment pouvait on être si parfaite, si importante et croire qu'on pouvait disparaître pour une personne qui n'en valait pas la peine. Absolument pas la peine ! C'est alors que nos yeux se rencontrèrent. S'électrisant les uns les autres. Je la fixais le souffle coupé sans savoir qu'ajouté. Je voulais me taire. Ne pas avoir à rompre l'instant. Ne pas avoir à me retourné pour m'en aller. Ne pas avoir à quitté cet endroit en ayant l'impression de ressentir ce goût amer si particulier qu'offrait les départs non désiré. Je l'entendis prononcer mon nom sans pouvoir finir sa phrase alors qu'on ne décrochait pas nos regards. Comme happé par la porte, le monde extérieure, ce monde qui me répugnait tant. J'avais l'impression de lui laisser de moins en moins de temps. Comme si inconsciemment je désire qu'elle prononce ces mots. Qu'elle me dise les seules mots qui puissent me faire resté. Qu'elle arrive à taire toutes mes angoisses et à me rendre cette assurance qui me caractérisait tant en sa présence. Je pouvais tout faire lorsqu'elle était là. J'étais prêt à tout pour la rassurer, lui donner cette impression étrange que j'étais parfait. Seulement je ne faisais que tromper les apparences. Je donnais l'impression alors que derrière l'image lisse ne se trouvait rien d'autre qu'une personne bien loin de la perfection. Le coeur serré je l'entendis me demandé à nouveau, ou plutôt me supplier, de ne pas l'abandonner. J'allais céder. Me retourné et partir lorsque je l'entendis le dire. Ces quelques mots que je n'avais jamais osé imaginé sortir de sa bouche.

Immobile je ne réagissais pas. C'était comme si je n'avais pas entendu. Que mon cerveau n'avait pas percuté et que je me trouvais à la traîne. Incapable de comprendre ou d'assimiler ce qu'elle venait de me dire. C'est alors que ça m'apparut comme une évidence. Sa voix, ses paroles. Notre relation par le passé. Cependant je ne savais comment réagir. Jusqu'à présent je n'avais jamais agit qu'entant qu'amis terriblement attaché et même que potentielle prétendant particulièrement jaloux. J'hésitais entre m'approcher d'elle et resté là où j'étais. Je ne savais pas depuis combien de temps j'attendais ça. De l'entendre, de le sentir tout en moi. Pourtant, malgré cette certitude que je l'avais entendue. Je n'arrivais pas à réagir en conséquence. J'aurais aimé l'embrasser. La serré dans mes bras. Mais en même temps je me savais faillible. J'avais failli à l'instant la tué. Boire son sang et commettre l'impardonnable. Je ne pouvais me permettre de la mettre en danger une fois encore. Cependant j'étais attiré. Attiré tel un papillon par la lumière, la terre par le soleil et ainsi de suite. Fermant les yeux je me pinçais l'arrête du nez dans un geste plein de regret. Avec douceur et d'une voix basse je lui dis :

-J'aimerais tellement être humain pour pouvoir te prendre dans mes bras sans risqué de te tuez ou te vidé de ton sang.
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MessageSujet: Re: We just got the feeling that we're meeting for the first time   We just got the feeling that we're meeting for the first time EmptyVen 22 Oct - 13:32

    Nous étions toujours chez moi dans la cuisine, mais si je dois avouer que Steve était plus proche de la sortie que de moi... Je sentais mon cœur se déchirer en deux, j'avais mal, tellement marre que j'aurais préféré qu'il me vide de mon sang, il y a quelques minutes de cela maintenant. Je m'emportais rapidement en voyant qu'il était lâche, qu'il refusait de me parler en face... Je lui en voulais de baisser les bras aussi vite, de ne pas avoir le courage d'affronter tous ces problèmes... Je ne voulais pas le perdre pour ça, j'en avais que faire de ce qu'il pensait... J'en avais marre que l'on prenne sans cesse des décisions pour moi sans me demander le moindre avis. J'avais les poings serrés à un tel poing que mes ongles étaient enfoncés dans ma peau mais je m'en fichais royalement, j'étais tellement en rogne, j'allais le perdre pour une broutille, il ne m’avait rien fait... Si seulement il acceptait de s'ouvrir à moi enfin d'ouvrir son cœur à moi ! Il se tournait vers moi haussant à son tour le ton, je ne l'avais jamais vu s'emporter de la sorte, il voyait vraiment en lui qu'un monstre incapable d'aimer ou d'être quelqu'un de bien. Je m'avançais alors vers lui, sentant la rage monter encore plus en moi, je m'arrêtais néanmoins à une distance raisonnable mais j'étais moins loin de lui qu'avant ce qui me réchauffais un peu mon cœur qui mourrait peu à peu sous ses paroles.

    "ARRÊTE! Tu n'es pas un monstre bon sang, essayes de te voir à travers mes yeux pour une fois. Tu serais un monstre tu n'aurais pas été aussi doux, prévenant et tendre à mon égard... Tu serais un monstre cela ferait longtemps que je ne serais plus là pour t'engueuler ou que tu aurais massacré de pauvres gens. Tu serais un monstre je n'essayerai pas de te garder auprès de moi par égoïsme...Reste... "

    J'essayais en vain de lui faire comprendre ma détresse, mon envie de l'avoir à mes côtés pour ne pas sombrer, j'avais besoin de lui... IL était le pilier de ma vie, sans lui je n'étais qu'une loque, une coquille vide... Si je ne faisais rien il partirait et ne remettrait plus les pieds ici, je le savais pertinemment au fond de moi même... La seule chose qui pouvait peut-être m'éviter de le perdre était de lui avouer ce que je ressentais à son égard, d'enfin lui dire ! Je pris alors mon courage à deux mains, et lui lançais avec quelque peu de difficulté, seulement sa réaction ne fut pas vraiment celle que j'attendais. Enfin à dire vrai, il ne me répondit pas de suite, perdu dans ses pensées, enfin dans ces cas là ce n'est pas dur de dire "moi aussi je t'aime" ou "non je ne ressens pas la même chose à ton égard"

    Je sentais que malgré ce que je venais de lui avouer il me quitterait pour mon sois disant bien, mais je refusais de le perdre... Pour moi il était plus important que tout, même que ma propre vie mais il ne semblait pas le comprendre, il prenait cela pour de la stupidité pure et simple. Je sais qu'il aimerait être humain mais il ne l'est pas alors on devait bien faire avec, j'étais sûr qu'il ne me ferait rien, mais il refuse l'amour que je pourrais lui donner tout ça à cause de sa nature ! Je m'approchais de nouveau désormais je pouvais toucher sa joue, je la caressais du bout des doigts, puis relevant sa tête, je plongeais mon regard dans le sien.

    " Humain ou non tu es Steve, tu ne me feras rien j'ai confiance en toi même si tu trouves cela stupide et trop téméraire... J'ai besoin de toi, de tes bras réconfortants autour de moi... Ne me laisse pas " se suppliais-je du regard.

    J'attendis patiemment sa réaction, continuant de caresser sa joue du bout des doigts, sa peau était aussi douce que celle d'un bébé. Je ne tenais pas à le perdre, je ferais tout pour le garder auprès de moi ! De l'égoïsme ? Oui et je suis fière de l'avouer.


Dernière édition par Clara Dawson le Ven 5 Nov - 17:32, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: We just got the feeling that we're meeting for the first time   We just got the feeling that we're meeting for the first time EmptyVen 22 Oct - 21:12

    We just got the feeling that we're meeting for the first time Matt-3-matt-lanter-10656966-100-100We just got the feeling that we're meeting for the first time Xsecondstar-38-emma02
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    Waiting for the end to come. Wishing I had strength to stand. This was not what I had planned. It's out of my control. Flying at the speed of light. Thoughts were spinning in my head. So many things were left unsaid. Linkin Park.

Je ne savais plus comment réagir. Je ne savais plus comment abandonné décemment. Y avait il abandon décent ? Existait il une manière fière de s'enfuir ? Non, bien sur que non. C'était tout à fait logique et je m'en rendais bien compte. Seulement il ne s'agissait pas de fierté, ni d'honneur en ce moment. Ça n'avait même aucun rapport et je m'en rendais bien compte. Alors pourquoi divers sentiments luttaient ils en moi ? Comment se faisait il qu'à chaque nouvelle parole qu'elle prononçait j'avais l'impression de me sentir un peu plus mal. Comment arrivait elle à me faire ressentir cela, puis pourquoi me sentais-je si mal ? Clara croyait encore au fait que je n'étais pas un monstre. Elle croyait encore que j'avais une âme. Qu'il y avait en moi quelque chose qu'on pouvait récupéré. Cependant c'était faux. J'avais voulu la tuer. J'avais voulu sentir son sang coulé dans ma gorge, me repaître de ce liquide si précieux et la sentir se détendre petit à petit dans mes bras jusqu'à ce qu'elle ne tienne plus à un fil. Si je n'étais point un monstre après cela je ne savais pas ce que j'étais. Pire ? Sans aucun doute j'étais bien pire. Ça me dégoûtait. Je me dégoûtais d'avoir désiré ça. D'avoir pu imaginer sentir son sang dans ma gorge. De sentir sa chaleur se répandre en moi alors que je lui volais sa vie petit à petit. J'aurais aimé être humain. Pouvoir être assez bien pour elle et lui offrir tout ce qu'il lui manquait. Mais qu'avais-je à lui offrir ? Une vie pleine de danger et de risque. Une mort rapide, indolore et arrivé trop tôt ? Je ne voulais pas être le bourreau. Je ne pouvais pas me le permettre alors ça me rongeait. J'avais peur. Peur de m'approcher. La toucher et craquer. Clara ne savait pas. Elle ne se rendait pas compte de ce que c'était que de ressentir la soif. Sentir chaque parcelle de son corps éveillé à cette fragrance si particulière qui vous fait frémir et vous trouble. Elle ne s'en rendait pas compte et c'était normal.

Je faisais tout pour éviter ses yeux. Son regard troublant. Celui là même qui me ferait tomber et m'empêcherait d'accomplir ce que je voulais. Seulement je ne m'attendais pas à ce qu'elle s'approcher de moi. A ce qu'elle me caresser la joue, même du bout de ses doigts. Je ne pouvais réprimer le frisson qui me parcouru lorsque je sentis ce contact aussi bref et doux que l'est un rêve éveillé. C'est alors qu'elle me fit relever la tête pour la fixer dans les yeux. Mon regard plongé dans ses yeux je ne pouvais plus rien faire. Plus lutter face à cet adversaire imaginaire qui m'avait battu d'avance. Je l'écoutais sans rien répondre avant de poser mes mains sur ses avants bras. Mes yeux plongé dans les siens j'avais lâché prise, je le savais déjà. Mais je ne pouvais tout laisser aller sans d'abord dire ce qu'il me restais sur le coeur.

-C'est téméraire. Stupidement téméraire je dirais même. Je ne suis pas le gentil Steve que tu décris... J'aimerais l'être mais je ne le suis pas. J'aimerais juste être assez bien pour toi.

Mon regard plongé dans le sien, je me penchais un peu en avant approchant mon visage du sien. Approchant mon corps de celui de la belle. J'avais la chair de poule. Je la sentais tellement proche que tout en moi s'éveillait. Mon instinct de tueur, ma soif. Cette partie de moi que je détestais plus que tout au monde. Mais bien plus ce que cela, j'avais l'impression que ce que je ressentais au plus profond de moi. Cette amour qui mûrissait depuis des mois désormais atteignait son apogée. Comme si tout ce que nous avions vécu devait nous mener à cette instant. Comme si nous ne nous étions disputé juste pour que je la regarde dans les yeux que je me laisse habité par ce sentiment que je tentais de réprimer au plus profond de moi. Alors mes mains glissèrent de ses avants bras jusqu'à sa taille où elles retrouvèrent leur place. Je ne souriais pas. Mon visage était toujours aussi neutre. Seule mes yeux parlaient. Seul eux étaient traducteur de ce que mon coeur ne pouvait dire. Et je la regardais comme si je ne l'avais jamais vu auparavant. Comme si je me devais de mémoriser chaque traits de son visage. Comme si j'allais la perdre à tout instant et que je ne pouvais la lâcher de peur de la voir partir. J'avais peur qu'elle s'en aille. Qu'elle me laisse et qu'à la fin il ne reste absolument rien de moi. Cependant, elle semblait vouloir resté. Me retenir. M'empêcher de m'en aller, de partir. Je le lisais dans ses yeux. Bien que je ne puisse encore le croire. Ce que traduisait ses émotions était bien réelle. Il le semblait, même si c'était tellement incroyable. Même si ça se rapprochait plus du songe que de la réalité. Cependant avec toujours autant de lenteur je m'approchais petit à petit. Grignotant ces quelques centimètres qui nous séparait encore l'un de l'autre. Je pu bien vite sentir son souffle se cogner contre la barrière de ses lèvres. Son haleine mentholé éveillé en moi mon odorat. Je sentais sa gorge à porté et le sang qui coulait sous sa peau. Seulement, ce n'était pas ce que je désirais. Si, bien sur que ça. Mais non pas de cette manière là. Je voulais d'abord qu'elle m'appartienne. Je voulais sentir qu'elle s'offrait à moi et que je pouvais me battre pour elle. Sans l'étouffer. Je fermais alors les yeux en lenteur et délicatesse mes lèvres venant frôler celle de la belle alors que le coeur de celle-ci semblait taper avec force contre sa poitrine. Je n'avais rien fait pour approfondir le baiser. Je sentais juste ses lèvres frôler et caresser les miennes avec une délicatesse si tendre que j'avais l'impression de mourir à nouveau. Je voulais mourir à nouveau au creux de ses bras. C'était tellement bon. Tellement loin de tous ce que j'avais imaginé. Je me sentais fiévreux. Animé par un feu que je ne me connaissais pas. Celui-ci consumait tout en moi alors qu'il n'y avait plus rien à brûler. Je n'étais que feu et elle. Elle était le vent qui m'animait, me faisait naître ou mourir au gré de ses envies.

-J'ai juste l'impression de t'avoir toujours aimer...

Lui murmurais dans un souffle mes lèvres frôlant toujours les siennes.
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Clara DawsonClara Dawson
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MessageSujet: Re: We just got the feeling that we're meeting for the first time   We just got the feeling that we're meeting for the first time EmptyJeu 28 Oct - 15:14

    Nous étions toujours chez moi, moi essayant vainement de le faire rester avec moi, je ne voulais pas le perdre et je serais capable de tout pour le garder auprès de moi... Mais j'avais beau essayer de lui faire comprendre, il était buté sur son idée d'être un monstre... Il pensait vraiment être un danger pour moi qui ne méritais pas ma confiance ainsi que mon amour. Je finis par lui avouer mes sentiments pour lui ainsi que mon immense besoin d'être rassuré, aimé, protégé par lui... IL était mon tout sans lui mon monde s'écroulerait... J'avais conscience que cela était téméraire, stupide et tout ce que vous pouvez bien penser ce que d'ailleurs Steve me justifiait.

    " Je le sais et je m'en fiche royalement si tu savais. ARRÊTE ! Tu n'es pas un monstre, je sais parfaitement comment tu es avec moi, tu t'en rends peut-être pas compte mais moi oui... Je n'aime que toi et ne veux que toi, je me fiche totalement que tu ne sois plus humain... Car avec moi tu es le plus humain des hommes Steve... "

    Je le regardais dans les yeux, sûr de moi sans la moindre crainte. Je savais ce qu'il était je l'avais accepté sans aucunes difficulté, je n'allais pas reculer maintenant car il a laissé sa faiblesse prendre le dessus, je refuse ! Je caressais tendrement sa joue du bout des doigts, lui faisant par de ma chaleur, de mon affection pour lui... Je l'aimais vraiment beaucoup, je sais que beaucoup me jugerais... Mais je ne l'aimais pas uniquement pour être immortelle ou je ne sais pas quoi encore... C'était pour lui, uniquement LUI ! Il se rapprocha alors de moi, son corps vint se coller au mien, je gardais mes yeux plantés dans les siens mon cœur commençait dangereusement à tambouriner dans ma poitrine... Tellement fort d'ailleurs que je crois qu'il va finir par s'en déloger... Je sentais que j'allais défaillir mais je tenais bon je devais tenir bon et ne pas lui sauter dessus direct... En plus, cela ne se fait pas !

    Ces mains qui étaient encore sur mes avants bras finirent pas descendre, elles se replacèrent sur mon hanches, comme là ou elles étaient pour me maintenir lors de "l'attaque" de Steve. Mes yeux et les siens se rencontraient toujours, nous n'avions pas besoin de parler à ce moment là pour se comprendre, je pouvais enfin discerner dans son regard tout l'amour qu'il me portait, mais en même temps j'y voyais une crainte... Sûrement celle de pouvoir me tuer à tout instant par mégarde. Puis, se fut autour de son visage de se rapprocher du mien, je sentis bientôt son souffle chaud contre ma peau, fermant les paupières je profitais de cette proximité jamais encore vécue ! C'est alors que ces lèvres vinrent frôler les miennes, je sentis mon cœur avoir un arrêt très net avant de reprendre de plus belle... Le rouge me montait aux joues, je sentais comme des fourmillements dans mon ventre, signe de l'excitation et bonheur du moment.

    " Alors continue d'en avoir l'impression " souriais-je.

    Je me mis alors sur la pointe des pieds pour que nos lèvres se trouvent enfin, les siennes étaient si douces et pleines. Je mis mes deux bras autour de sa nuque me laissant emporter par le moment... Ce moment que j'avais attendu si longtemps.

    Spoiler:
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Steve KarterSteve Karter


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MessageSujet: Re: We just got the feeling that we're meeting for the first time   We just got the feeling that we're meeting for the first time EmptyJeu 28 Oct - 22:08

    We just got the feeling that we're meeting for the first time Matt-3-matt-lanter-10656966-100-100We just got the feeling that we're meeting for the first time Xsecondstar-38-emma02
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Ce qu'elle me dit me faisait plaisir. Je n'étais peut-être pas assez bien pour elle. Je ne le serais sans doute jamais, cependant ça me faisait chaud au coeur de l'entendre dire ça. C'était comme si on m'offrait des ailes. Des ailes magnifique et immaculé qu'elle m'offrait avec la force de son amour. Ses mots pénétraient en moi avec force et vigueur pour finir par se graver dans ma peau à l'indélébile. Tel des marques de fierté que je ne pourrais jamais oublié. J'avais déjà l'impression de me sentir défaillir perdu dans ses yeux troublant que je ne pouvais quitté sans un léger pincement au coeur. Je sentais sa main sur ma joue, Clara continuait à me caresser du bout des doigts et dieu que j'aimais ça. Un siècle sans cette sensation, sans sentir son souffle m'effleurer avec délicatesse, était perdu à jamais alors qu'en quelque secondes je pouvais avoir vécu la plus belle chose du monde. Son coeur tambourinait dans sa poitrine créant une douce mélodie à mon oreille que je ne pouvais ignorer. Ce coeur ne battait, ne chantait que pour moi et dire que j'aimais cela était peu dire. J'adorais, j'aimais la sentir à porté de main, mes doigts frôlant sa peau, mon corps coller contre le sien. Y avait il meilleure sensation au monde ? Je n'en savais rien, mais j'espérais que non.

Malgré mes pensées je fus bien étonné. En effet, lorsque j'approchais mon visage avec lenteur du sien, je la contemplais sans aucune pudeur. Je voyais son visage détendu et ses traits fin à porté. C'était déjà comme si je pouvais la prendre et m'enfuir à l'autre bout de la terre. Sur une autre planète afin de partager un instant qui durerait éternellement. Je la vis fermé ses yeux m'offrant son visage serein et déterminé à contemplé. C'était fou ce que je ressentais. Tout en moi s'agitait et je ne pouvais lutter. C'était encore mieux que de la serrer contre moi. J'aimais cette appréhension mélangé de désir qui naissait à la simple pensé que nos lèvres se rencontrent pour un ballet sans fin. Plus l'espace qui nous séparait s'amoindrissait, plus je me sentais partir. Plus je sentais que j'étais au bord d'un gouffre de délice et de plaisir. J'avais tellement désiré cela, tellement imaginé mes lèvres se posé sur les siennes dans une étreinte que je ressentirais avec un délice inaltérable. Nos lèvres s'effleurèrent à peine. Un contact qui me sembla passé en une éternité comme une seconde. C'est alors que je lui dis qu'il me semblait que je l'avais toujours aimé. C'était tellement ancrée en moi qu'il s'agissait presque d'une certitude. Comme si elle avait été faite pour moi. Une sorte d'Eve prévu pour Adam. Une Clara pour moi. La seule l'unique. Celle qui est si sensible qu'il m'arrive parfois de me demander comment elle peut-être ainsi dans ce monde fou. Une Clara capable du meilleure et qui ne peut s'empêcher de me rendre un peu plus vivant chaque jours comme si j'étais encore humain. Je ne suis un être humain que dans ses yeux aux éclats troublant. Il n'y qu'avec elle que je me sens ainsi. Fière, sur de moi, et tellement bien. Sans elle, je ne suis pas totalement moi. Sans elle je n'ai pas l'impression d'être quelqu'un. Sans elle je ne suis rien. Les yeux clos pour mieux profiter de ce contact éphémère, je partageais son sourire bref alors qu'elle me disait de continuer à le penser. J'allais dire quelque chose lorsque je sentis ses bras s'enrouler autour de mon cou. Trouvant une place qui leur étaient réservé depuis toujours. Mes mains posé sur sa taille je la serrais un peu plus prenant garde de maîtriser ma force. C'était ma poupée, ma poupée de porcelaine fragile qui pourrait se briser au moindre de mes faux mouvements. Je devais faire attention à elle, je devais faire attention à ma poupée, ma douce et belle poupée. Qu'elle était belle. elle était la plus belle et ne voulait que moi. Et moi je ne voulais qu'elle. Mon dieu qu'elle était belle. Pouvais-je réellement croire qu'il me fût réservé un pareille cadeau des cieux ? Après toutes ces années, après toutes ces erreurs que j'avais commise. Je n'en revenais pas que tel cadeau puisse m'être réservé. Alors que je me trouvais en train de louer les cieux je sentis ses lèvres se poser à nouveau sur les mêmes. Leur douceur extrême et la chaleur qui s'en échappait m'attirait au plus haut point. C'est alors que bougeant légèrement mon visage j'approfondissais le baiser soulevant sans difficulté aucune la belle du sol. Je la serrais tout contre moi m'enivrant de sa personne. Son odeur, sa douceur, sa chaleur. Je mémorisais tout en ayant l'impression que je ne pourrais vivre pareille chose qu'une fois tant c'était bon. Le ballet sans fin de nos lèvres bougeant dans un commun accord était délicieux. Il m'était impossible de rester de marbre face à la chose. J'étais tout bonnement ébranler au plus profond de ma personne. Comme si il était possible à quelqu'un de moi de voir un nouveau jour se lever en ayant l'impression qu'aujourd'hui encore tout allait être différent et qu'on pouvait changer. N'ayant aucun problème pour respirer je rompis le baiser lorsque je me rendis compte que je n'avais plus d'air dans les poumons. Les yeux toujours clos pour mieux profiter de l'instant je reculais légèrement le visage un large sourire aux lèvres. Jamais je n'avais vécu chose semblable et embrasser la bonne personne était tout bonnement divin. Après quelques secondes j'ouvris alors les yeux tout en posant ma main sur sa joue alors que je recouvrais son autre joue de mille et un baiser. Un léger rire me prit alors que je me mettais à dire :

-On est fou, complètement fou ... et dieu que j'aime ça !

Nous ne faisions pas partie du même monde. Nous ne faisions même pas partie de la même époque. J'avais vécu plus de chose qu'elle n'en avait encore jamais vécu et je pouvais me vanter d'avoir fréquenté tel ou tel personne. Seulement, malgré tout cela. A l'heure actuelle, personne mis à part elle ne pouvait être plus proche de moi de mon coeur et de tout ce qui se rapportait à ma personne. Je plantais mon regard dans le sien lui souriant tendrement en me rendant compte de ce qui venait de se produire. Je venais de l'embrasser! Vraiment! C'était... C'était. Je ne savais même pas quoi dire ! J'étais heureux, mon coeur était en joie et je ne pensais qu'à cela. Le bon côté de la chose. Le fait qu'elle soit là, dans mes bras, que je puisse la sentir. La touché comme jamais je n'avais pu le faire avant. Comme je croyais jamais pouvoir le faire.
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Clara DawsonClara Dawson
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MessageSujet: Re: We just got the feeling that we're meeting for the first time   We just got the feeling that we're meeting for the first time EmptyLun 1 Nov - 15:11

    Je venais enfin de réussir à l'approcher sans qu'il recule sans cesse vers la sortie, je dois dire que j'avais vraiment peur qu'il me quitte sans revenir ou tout simplement sans regrets de le faire. Je sentais le gouffre entre nous devenir moins grand et profond... Je pouvais désormais toucher sa peau si touche, mes doigts faisant des mouvements circulaires sur sa joue. J'aimais ce contact, j'espérais de tout mon cœur qu'il n'allait pas me repousser. Je soupirais d'aise en me rendant compte qu'il ne le fit pas, puis il ne le fera pas... Il semblait à l'aise et surtout apprécier mes caresses, il ne devait pas en avoir eu beaucoup pendant pas mal de temps pour apprécier à ce point. Il me regardait avec beaucoup d'intensité que j'en frissonnais de tout mon long, j'aimais ce regard posé sur moi... On aurait dit qu'il tenait à scanner le moindre de mes traits pour s'en souvenir sans cesse. Mon cœur battait la chamade, je croyais vraiment qu'il allait se déloger de ma poitrine tellement je le sentais cogné dans celle-ci. Il approchait alors doucement son visage du mien, j'avais tellement hâte que mes lèvres rencontrent les siennes que c'est à peine si je ne sautillais pas sur place. Je n'avais qu'une envie l'embrasser maintenant, tout de suite à l'instant même. Mais je devais attendre, je sentais son souffle chaud contre ma peau, cette odeur qui attirait si aisément les demoiselles... Faut dire que les vampires étaient loin d'être vilains...

    Ces lèvres finirent pas rencontre les miennes mais pas directement, il semblerait qu'il cherche à voir jusqu'où pouvait bien aller ma retenue de ne pas l'embrasser franchement. Il m'avoua qu'il avait toujours eu l'impression de m'aimer, j'enroulais mes bras autour de sa nuque lui annonçant qu'il ferait mieux de toujours avoir cette impression puis je déposais franchement mes lèvres sur les siennes... Elles étaient si douces, si désireuse, je me demande encore comment j'avais pu résister pendant tout ce temps. Ses mains étaient toujours posées sur mes hanches, il me serrait un peu plus contre moi, j'aimais cette sensation comme si j'étais qu'à lui à ce moment précis. Puis il approfondit alors le baiser, je me collais encore plus contre lui, mais il finit par me porter... J'encerclais mes jambes autour de sa taille pour ne pas lui mettre tout mon poids le pauvre sinon. Il s'écarta alors de moi, rompant donc le baiser, mon cœur battait toujours la chamade... Et je dois présumer que j'avais les joues rosies. Il posa alors sa main sur ma joue et embrassais chaque partie de mon visage, je riais car il me chatouillait un peu.

    " Alors continuons d'être fou encore longtemps car je ne suis pas prête à renoncer à ça " dis-je en souriant.

    Je ne voulais pas quitter ces bras c'est indéniable, je voulais continuer à l'embrasser encore et encore, jusqu'à périr d'asphyxie. Je caressais de nouveau sa joue, es doigts dérivant sur sa bouche que je caressais sensuellement avant d'y reposer mes lèvres en douceur.

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MessageSujet: Re: We just got the feeling that we're meeting for the first time   We just got the feeling that we're meeting for the first time EmptyMar 2 Nov - 10:32

    We just got the feeling that we're meeting for the first time Matt-3-matt-lanter-10656966-100-100We just got the feeling that we're meeting for the first time Xsecondstar-38-emma02
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Je ne savais plus comment réagir. A l'aide de mes bras je soulevais la belle en la serrant tout contre moi. C'est alors qu'elle passa ses jambes autour de ma taille tout en continuant à m'embrasser. Ce baiser prenait de l'ampleur alors que je me sentais de mieux en mieux. Partageant ces secondes d'éternités avec Clara, je finis par rompre le baiser pour la fixer dans les yeux. Son regard si profond m'atteignait en plein coeur alors que ses douces rougies me faisaient me consumer d'envies. Je me mis alors à couvrir son visage d'une myriades de baiser un doux sourires toujours posé sur mes lèvres. Je me sentais bien, et l'écho de son rire cristallin me procurait de doux frissons dans l'échine. M'arrêtant pour me remettre à le regarder sans cesser de sourire elle dit que nous devions continuer d'être fou car elle ne pouvait renoncer à tout cela. La belle se remit alors à me caresser la joue avec délicatesse dérivant finalement sur mes lèvres. Pris de frissons je ne cessais de sourire en attendant qu'elle vienne posé ses lèvres sur les mêmes. Ce qu'elle fit heureusement rapidement. Je devenais en manque. Plus je profitais de ce contact, plus je voulais en profiter. Ses lèvres caressant les miennes animaient un feu en moi. Je me sentais puissant et invulnérable. J'aimais ces instants d'éternité que nous étions seul à partagé. Je sentais son coeur battre la chamade tentant sans doute de se délogé de sa poitrine alors que je me sentais défaillir petit à petit. Elle seule pouvait me rendre fou, elle seule pouvait m'atteindre ainsi par une de ses phrases, un de ses gestes. Et dieu que j'aimais cela. J'avais l'impression d'être plus humain que certains hommes à cet instant. Comme si j'avais trouvé une formule pour récupéré mon âme volé afin de pouvoir profiter de quelques instants de normalité. Pourtant rien n'avait changé. Rien n'avait changé en moi. Cependant tout avait changé entre nous et savoir la belle ainsi, à porté de main, c'était juste une délicieuse impression qui me rendait de plus en plus invincible. Et dieu que j'aimais cela, c'était même pire que cela, je pourrais bientôt plus m'en passer.

L'embrasser encore et encore ne me lassait pas. Je la sentais coller tout contre moi et je pensais ne pas pouvoir être plus proche d'elle qu'à cet instant. Le coeur ouvert, en parfaite communion, bercer par le trouble régnant dans ses yeux. Je me sentais bien, mieux que jamais je dirais même. Dire que le monde se trouvait au creux de ma main si je le désirais m'étonnait. J'avais toujours cru que j'allais devoir subir ma nature. Que jamais je n'aurais droit au bonheur, à cette sensation si étrange et si particulière que d'être vivant comme n'importe qui. Elle m'offrait une seconde jeunesse, pareille aux première années de vie que j'avais passé avec mon créateur. Mélange de joie et découverte qui m'apprirent plus que tous les livres qu'on aurait pu me faire lire. Désormais, il ne me restait plus là jeunesse, mais je découvrais les prémices du sentiment amoureux. Ce sentiment si étrange et particulier qu'il ne servait à rien de lutter contre tant il était puissant et plaisant de le ressentir. Après quelques instants je me mis à nouveau à la fixer alors qu'elle semblait tout aussi ébranler que moi. J'avais des vertus apprise par les années. Pour moi, l'amour avait une saveur précise et il n'était bon de l'offrir à la mauvaise personne. Néanmoins, sur le moment, je n'avais pas l'impression de trahir mes principes. Bien du contraire. C'était la bonne. Sans quoi je ne me serais pas sentit au bord de la rupture lorsque ses lèvres avaient rencontrée les miennes.

-Je ne compte pas perdre cela non plus. Pour rien au monde.

Souriant légèrement je repensais à notre rencontre. A ce jour où je m'en était allé afin de disparaître de sa vie et de ne pas avoir à affronter de potentiel sentiment. Voila que je me retrouvais à la case départ. Aussi émarouché qu'au départ et encore plus incapable de me battre contre ces sentiments que ce que je ne pouvais le croire.
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MessageSujet: Re: We just got the feeling that we're meeting for the first time   We just got the feeling that we're meeting for the first time EmptyVen 12 Nov - 13:57

    Nous étions toujours collés l'un à l'autre, je ne voulais nullement le lâcher, jamais... Il me portait contre lui, mes jambes enrouler autour de sa taille, nous étions vraiment collés, plus que nous ne l'avions jamais été lui et moi. Mais je dois dire que la sensation que j'avais en bas du ventre ne me déplaisait pas le moins du monde. Je ne voulais aucunement quitter ses bras... Il devait me trouver sûrement très collante mais ma fois il ne se plaignait pas de m'avoir ainsi contre lui. J'étais si heureuse ainsi sans bouger, sentant sa chaleur contre moi, mon cœur quant à lui ne s'était toujours pas calmé... Je ne pensais pas que l'embrasser un jour me ferait cet effet. Je finis par descendre car à force je devais commencer à devenir un peu lourde pour le jeune homme, je déposais un baiser dans son cou au passage. Ensuite, ayant pieds à terre, je pris sa main dans la mienne nouant de nouveau mes doigts aux siens pour le guider là ou nous étions auparavant c'est à dire le salon.

    " Alors nous ne le perdrons pas Steve, je veux plus risquer de te perdre, jamais... Ne me quittes plus, de toute manière je ne ferais plus l'erreur de suivre mes parents, je resterais pour toujours à tes côtés "

    Ce qui est un peu stupide quand on y pense, car bien sûr les vampires ne vieillissaient pas, par conséquent un jour ou un autre Steve finira par me quitter car je suis beaucoup plus vieille que lui... Ce qui bien sûr attirera les ragots et tout ce qui s'en suit. Je sentais mon cœur se serrer rien qu'à penser qu'un jour mon amour finirait par me quitter de lui-même, je doute qu'il veuille me transformer pour que je sois sans cesse avec lui... Il détestait trop ce qu'il était. Je secouais la tête puis le regardais de mes yeux pleins d'amour avant de lui demander.

    " Tu veux rester là pour manger, bon c'est le bazar mais je m'ennuie un peu toute seule " dis-je en rougissant.

    Je crevais d'envie de l'embrasser à nouveau mais je devais me retenir, en plus dieu sait comment ça pourrait finir... Je ne voulais pas brûler les étapes, mais dans un sens je le désirais tellement dans tous les sens du terme. Mais nous ne devions rester raisonnables, y aller doucement c'est déjà un grand pas que nous avons fait aujourd'hui... Je pris sa main dans la mienne et commençais à la caresse de mon pouce, j'aimais cette proximité que nous avions tous les deux, désormais elle ne voulait plus du tout dire la même chose... Nous allions être plus que des amis !

    " Dis ! Si nous deux ça marche pas, ce que je ne souhaite pas hein ! Mais si... Est-ce que notre amitié serait altérée ? "

    C'est une chose qui m'effrayais vraiment perdre mon petit ami et mon ami en même temps si ça venait à ne pas fonctionner entre nous. Je ne voulais le perdre pour rien au monde sans lui je ne serais plus rien, je crois que s'il me rejetais en tant que petite amie et amie je me suiciderais sur le champ...
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MessageSujet: Re: We just got the feeling that we're meeting for the first time   We just got the feeling that we're meeting for the first time Empty

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